Le vieux pont était précieux car « il était le seul point de passage sur 10 lieues du cours de l’Auvézère et l’unique moyen de franchir la rivière par eaux fortes, lorsque les gués et les bacs étaient devenus inutilisables ».
Tout en maçonnerie, le pont se composait de trois arches en plein cintre, en décroissance sur les deux rives, donnant ainsi une silhouette en « dos d’âne ». Outre les deux culées, les arches reposaient sur deux piles avec des avant-becs en éperon vers l’amont. L’avant-bec le plus proche du bourg avait été surélevé de façon à loger une chapelle qui ne comportait aucune ouverture vers la rivière.